Depuis le début de la crise sanitaire, 1 050 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) ont été initiés entre mars 2020 & mai 2021 prévoyant 106 500 ruptures de contrats (contre 2 647 PSE notifiés durant la crise de 2008-2009).Source : dares

Quatre branches regroupent plus de la moitié des ruptures envisagées : la métallurgie (21 %), les bureaux d’études et prestations de services aux entreprises (13 %), les transports et l’hôtellerie-restauration (11 % chacune). Leurs parts sont supérieures à celles qu’elles occupent dans l’emploi des entreprises de 50 sala- riés ou plus, champ d’application des PSE.

Fin mai 2021, 74 % des procédures (soit 775) ont été validées et/ou homologuées pour 75 800 ruptures La région Île-de-France est la plus concernée, avec 43 % des ruptures (pour 28 % de part dans l’emploi).

Crise sanitaire : quels sont les branches et les territoires les plus concernés
par les plans de sauvegarde de l’emploi ?

Au 31 mai 2021, 1 050 procédures PSE ont été initiées de- puis le début de la crise sanitaire liée au Covid-19 (contre 2 647 PSE notifiés1 entre fin 2008 et fin 2009, durant la crise économique), envisageant 106 500 ruptures de contrats de travail. Les salariés concernés par un PSE peuvent être re- classés en interne, ou à défaut, licenciés pour motif écono- mique. Entre mars 2020 et mai 2021, 146 5002 personnes se sont inscrites à Pôle emploi suite à un licenciement économique stricto sensu, soit une hausse de 7 % comparée à la période équivalente deux ans auparavant.

https://dares.travail-emploi.gouv.fr/sites/default/files/7eaa39694a4ee67e32d8601120e2157a/Dares-Focus_Crise%20sanitaire-Branches%20et%20territoires%20des%20PSE.pdf